La Chambre a adopté le projet de loi républicain sur les soins de santé sans prolonger la subvention de l’ACA.
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La Chambre a adopté mercredi un programme républicain de soins de santé qui n’a pas prolongé l’augmentation des subventions pour les plans de l’Affordable Care Act, signalant qu’une aide financière plus généreuse expirera à la fin de l’année.
Le projet de loi, adopté par 216 voix contre 211 lors d’un vote proche de celui des partis, aurait élargi les options de couverture alternatives telles que les plans de santé associatifs et les modalités de remboursement des soins de santé pour une couverture individuelle.
Il financerait également des paiements de réduction de partage des coûts pour réduire les dépenses personnelles et les franchises pour les inscrits à l’ACA à faible revenu et établirait des exigences de transparence pour les gestionnaires de prestations pharmaceutiques.
Cependant, le projet de loi ne mentionne pas l’extension des crédits d’impôt améliorés pour les régimes ACA. Adoptées pour la première fois pendant la pandémie de COVID-19, les subventions ont permis à de nombreux bénéficiaires à faible revenu de ne rien payer pour la couverture tout en améliorant l’abordabilité pour les salariés à revenu intermédiaire.
L’aide financière expire à la fin de l’année, ce qui fait plus que doubler les primes sur les bourses et obligera probablement des millions de bénéficiaires à cesser de payer.
L’imminence de l’échéance avait ébranlé Washington pendant des semaines. Cette question a été au centre d’une paralysie historiquement longue du gouvernement cet automne, même si l’impasse s’est terminée sans accord. Les démocrates sont favorables à l’extension des subventions pour éviter la menace d’un gouffre d’accessibilité financière, mais les républicains ont largement fait valoir que l’aide financière est trop coûteuse et augmente les possibilités de fraude.
Néanmoins, les partis républicains ont connu une certaine controverse sur la manière de gérer la fin des subventions. Mercredi, quatre républicains modérés ont rejoint les démocrates dans une pétition de décharge qui forcerait un vote sur la prolongation des subventions le mois prochain.
Mais il est peu probable que cette décision avance, et le Sénat a rejeté la semaine dernière sa propre législation qui aurait maintenu les crédits d’impôt sur les primes d’assurance pendant trois ans.
L’expiration des subventions exercera une nouvelle pression financière sur les prestataires, qui devraient connaître une baisse de leurs revenus et une augmentation du coût des soins non rémunérés.
“À mesure que les primes augmentent, beaucoup n’auront d’autre choix que d’abandonner l’assurance. Cela augmentera le nombre de personnes non assurées, augmentera les coûts pour les patients et les prestataires, et alourdira encore davantage l’ensemble du système de santé, créant une instabilité financière évitable pour les familles et les communautés à travers le pays”, a déclaré mercredi Mary Haddad, présidente et directrice générale de l’Association catholique de la santé, dans un communiqué.
La Fédération américaine des hôpitaux a également appelé le Congrès à prolonger les crédits d’impôt au cours de la nouvelle année.
“Les législateurs des deux côtés quittent la ville sans aborder le problème numéro un pour les familles de chaque communauté à travers le pays : les primes de soins de santé montent en flèche le 1er janvier”, a déclaré Charlene MacDonald, vice-présidente exécutive des affaires publiques de FAH et nouvelle PDG du groupe, dans un communiqué mercredi. « Cela ne devrait pas être le cas – mais ne vous y trompez pas – ce problème ne va pas disparaître.

